Sur cette page, je vous propose d'aborder les addictions et les troubles des conduites alimentaires ainsi que l'ensemble des troubles psychosomatiques, les réactions post-traumatiques (stress post-traumatique et TPST) et les états pathologiques associés que l'on nomme: le stress, l'angoisse et l'anxiété.

L'objectif est d'explorer ces troubles pour mieux les prévenir... La prévention commence ici quand vous vous informez...et s'il est déjà tard pour prévenir, c'est aussi l'occasion d'aller vers la compréhension, l'acceptation et la guérison !

Vous trouverez ci-après quatre paragraphes sur: les troubles psychosomatiques, les troubles psychotraumatiques, la prévention des addictions, la prévention des TCA et le dernier sur le stress et l'angoisse.

 

La prévention des troubles psychosomatiques

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L'objectif de cette page est bien de parler de prévention, sur le principe même que dans de nombreux domaines, mieux vaut prévenir que guérir... Dans celui des addictions et des troubles du comportement (alimentaire ou pas), cet adage me parait tout à fait pertinent. On guérit de ces pathologies mais le soin est souvent long et les malades, même s'ils sortent grandis de cette expérience, souffrent. La souffrance n'est pas une fin en soi (parfois une faim en soi!) alors je préfère croire que chacun peut grandir autrement qu'en traversant ces pathologies...

J'y ajoute quelques mots sur le terme "psychosomatique" qui mérite d'être réhabilité, à mon sens... Les pathologies addictives font partie de troubles qui envahissent l'esprit et prenne le coprs en otage... aucune part de l'homme n'est épargnée dans les addictions!

La prévention

La prévention dans le domaine de la santé, c'est de prendre soin de vous pour ne pas avoir à guérir! Cela signifie que vous soyez sûr qu'il est bon de s'écouter et qu'il ne s'agit pas d'une démarche "égoiste"... Ce n'est pas parce que vous prendrez soin de vous que vous ne prendrez plus soin des autres, au contraire!

Respectez vos besoins (de temps, de repos, de nourriture, d'échange, de solitude....) et vos limites, gardez du temps pour vous et accueillez vos émotions. Et si vous vous sentez las, maussade, "mal dans votre peau", alors exprimez votre malaise afin qu'il ne prenne pas tout l'espace dans votre vie et qu'il ne génère des somatisations.

La prévention, c'est décider après un évènement traumatique (qui vous perturbe encore après plusieurs jours), d'aller voir un professionnel formé à la psychotraumatologie.

Certaines techniques permettent d'archiver l'épisode traumatique avant qu'il ne devienne traumatique! Des bons mots, de bonnes attitudes et certains protocoles (Care, stop, défusing, débriefing) vont faciliter la récupération psychologique tout comme de bons soins facilitent la cicatrisation physiologique.. Sans cette intervention, l'emprise émotionnelle empêche le cerveau de classer l'épisode douloureux et de retrouver la sérénité. Cela peut vous amener à vivre mal pendant des mois alors qu'un débriefing dure 3 heures...

Les troubles psychosomatiques

Qui a bien pu développer l'idée qu'il y aurait chez les êtres humains, une part "psychique" qui régirait tous les aspects fonctionnels d'ordre cérébral, affectif et émotionnel, et une seconde part "somatique" qui assurerait toute l'intendance d'ordre physiologique et organique?

Cette question sous forme humoristique est une façon de dédramatiser le mot "psychosomatique" qui signifie simplement que certains maux d'ordre physique, qui prennent siège dans le "soma"- autrement dit le "corps", ont une origine d'ordre psychique et/ou psychologique.

Je pense que cela est parfaitement rassurant que notre corps et notre esprit soient bien en lien et que, lorsque l'esprit n'entend pas les besoins du corps, voire même ses propres besoins, le corps puisse intervenir et se faire l'interprête des parts de nous qui sont en souffrance!

En quoi une maladie organique serait-elle plus "noble" qu'une maladie psychosomatique? Certains pensent même que toute pathologie est une forme de mal-être non entendu qui se traduit sous forme de somatisation pour se faire mieux entendre?

L'objectif ici n'est pas d'en débattre mais bien de vous signifier que, quelque soit l'origine de la pathologie et son vecteur d'expression, si vous éprouvez le besoin d'être accompagné ou si vous trouvez l'invitation à suivre une thérapie (par votre médecin, un proche...) opportune, n'hésitez pas à prendre soin de vous "corps et âme"!

Au fil de soi, la vraie finalité, c'est d'être "psychosomatiquement" bien!

Les troubles "psychotraumatiques"

Suite à un épisode "traumatisant", le corps va réagir pour faire face à cette perturbation psychologique et physiologique soudaine. Cependant, le strees lié à un épisode traumatogène peut ne pas disparaitre naturellement et la personne va alors développer des réactions tout à fait spécifiques, liées au stress post-traumatique. C'est un peu comme si l'organisme n'arrivait pas à abaisser l'état de tension interne. Des somatisations vont alors se développer, des conduites d'évitement vont s'installer... Les réactions spécifiques sont de trois ordres et permettent d'identifier un réel évênement traumatique pour la personne. Il n'y a pas d'évênement traumatique en soi, c'est la façon dont la personne vit un épisode de vie qui est importante. Si cela "ébranle" son système de valeurs, alors l'épisode devient traumatogène. Les réactions spécifiques sont: l'évitement de la situation et de tout ce qui rappelle l'épisode à la personne, l'hyper excitation (agitation, dissociation, troubles du sommeil, troubles alimentaires, agressivité...) et les souvenirs intrusifs (cauchemars, flashback...). Pour éviter que les réactions ne deviennent de véritables symptômes, il convient de "débriefer" l'épisode.

Les personnes formées au débriefing vous recoivent pendant 2 heures puis 1 heure 8 semaines plus tard... Cela peut éviter la prise de médicaments et de longues années de suivi thérapeutique!

Pour vous former à devenir débriefeur, aider les autres à dépasser un trauma: se former au débriefing (PDF).

Bibliographie

La prévention des addictions

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La prévention des addictions, ce n'est certainement pas s'isoler en haut d'une tour pour éviter la tentation! Plus nous interdisons et plus nous évitons, moins nous exerçons notre capacité à vivre et à expérimenter! C'est en faisant l'expérience ou en échangeant nos expériences que nous pouvons mesurer le décalage entre certains actes et le résultat obtenu. Le propre des addictions est bien celui-là : nous promettre le mieux-être, nous donner l'illusion que tout ira mieux et nous emporter à l'opposé de ce que nous recherchions.

A l'arrivée, il n' a pas cette vie heureuse, ce sentiment de confiance en soi et cette maîtrise que nous envions à d'autres! Il y a ce que nous cherchions à fuir : le mal-être (trop de stress, trop d'angoisses, trop de tristesse...), le doute, la peur de ne pas être à la hauteur, la culpabilité, l'esclavage au produit ou au comportement!

Prévenir les addictions, c'est en parler! Ce n'est pas parce qu'on en parlera que cela suscitera l'envie chez les plus jeunes d'essayer! Il est important d'informer des effets méconnus et de préciser que les effets "vantés", s'ils existent, sont de courte durée et que rapidement, c'est l'addiction qui dirige votre vie et non pas l'inverse!

Les jeunes gens qui testeront les substances ou les conduites addictives ne deviendront pas pour cela dépendants! Ce sera juste un essai. Devenir dépendant se fait progressivement et, en ouvrant largement le dialogue sur ces sujets, il y a plus de chance de déceler un jeune en phase de "pré-addiction".

Le principal facteur de dépendance vient de la structure même de la personne qui manque profondément d'estime d'elle-même et de confiance en elle...Devenir adulte est une étape de vie "charnière" et avoir confiance en soi, à l'adolescence, est d'autant plus délicat! Le manque de confiance en soi pour se réveler plus tard, à l'occasion d'un évênement douloureux (une rupture amoureuse, professionnelle...) et le glissement vers la dépendance va se faire progressivement... Quelques verres pour oublier... des heures de travail en plus... pour oublier, des achats à toute heure pour... oublier qu'on est seul et ne pas sentir la tristesse et la colère au fond de nous. On se sent seul et vide quand on n'est pas assez nourri de soi, pas assez riche d'estime de soi. L'addiction "ajoute", "comble les vides" et anesthésie temporairement les émotions trop douloureuses à entendre... Elle arrive comme un nouvel élan de vie mais sans prévenir du prix à payer!

Prévenir les addictions, c'est donner de l'amour en adéquation avec les besoins de celui qui reçoit, un amour qui l'aide à grandir, qui lui dit: "Je t'aime pour qui tu es et je t'accompagne avec une vraie foi dans tes ressources. J'ai confiance en toi".

C'est prendre l'enfant par la main quand il le demande, pour qu'il ait la force d'aller plus loin, et le féliciter lorsqu'il lâche votre main! C'est lui offrir un sourire encourageant quand il vous dit..."je peux le faire seul maintenant..."

C'est prendre votre ami dans les bras pour accueillir sa peine et l'inviter à pleurer et repartir chez vous en lui serrant la main pour lui signifier "je suis là, j'ai confiance en toi et je suis heureux d'être ton ami, juste parce que tu es toi!".

Prévenir les addictions, c'est accueillir les émotions et inviter votre ami à pleurer sur votre épaule plutôt qu' à boire un verre!

Enfin, la prévention n'a pas de lieu et de moment privilégiés: c'est à la maison, au collège, au lycée, en entreprise, en association... au moment où la communication et le lien sont là!

 

La prévention des TCA

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La prévention des troubles des conduites alimentaires repose sur les mêmes actions que pour les autres addictions: en parler, être attentif, aider les jeunes à construire leur confiance en eux et les accompagner à exprimer leurs émotions... Cela veut dire, être disponible pour eux!

Nous comprenons aisément qu'être disponible pour échanger, pour lire entre les "signes" (des comportments qui changent, des mots plus forts ou plus de mots, des regards fuyants...), pour entendre les joies et les peines de l'autre, signifie que nous ayons nous-même bien équilibrer notre vie, en conservant un "espace-temps" pour notre bien-être, nos relations et notre communication (une communication authentique et attentive à l'autre, pas un simple échange "passe-temps"!). 

Dans les TCA, certaines pathologies sont plus visibles que d'autres : même si les malades cachent leur maigreur, l'anorexie finira par être suspectée ou se révèlera lorsque le corps commencera à "fatiguer" de cette situation de stress alimentaire permanent. Pour les troubles où la consommation d'aliments est importante (boulimie, frénésie alimentaire et le grignotage pathologique), c'est peut-être la disparition extrément rapide des réserves dans les placards qui alertera l'entourage...Si entourage il y a, et que le malade ne vit pas seul; l'isolement progressif fait partie des stratégies de la maladie pour mieux éviter d'être démasquée... Pour les malades d'anorexie-boulimie (ou anorexie avec vomissements), qui oscillent entre les deux symptômes, pour les complications comme les ruminations (mérycisme), cela demande plus d'observation...des glandes salivaires gonflées, des maux de dents, des maux de ventre (à force d'usage de laxatifs et de coupe-faim, de comprimés anti-graisse!), des brûlures d'estomac...les malades s'en plaindront rarement et garderont leur souffrance physique pour eux.

Alors, l'observation doit être très fine... Les humeurs vont devenir plus variables, les repas sujets de stress, certains aliments vont être évités, des petits "riens" vont devenir extrémement importants (le malade s'accroche à des petits rituels, à la place d'objets, aux heures pour canaliser ses angoisses et tenter de fixer ses pensées obsédantes sur des sujets extérieurs...), l'activité physique et mentale s'amplifie souvent et se transforme en hyperactivité... Ne pas se poser pour fuir ? Oui, pour éviter de ressentir ses émotions si intenses et pour ne pas grossir! D'autres symptômes existent et je vous invite à aller sur le site de l'association AUTREMENT. Je vous signifie encore que les troubles des conduites alimentaires sont des "troubles" et que si vous avez le sentiment que la personne que vous connaissez à changer dans ses comportements, dans ses humeurs et que l'alimentation devient un sujet "délicat", il convient d'en parler... En parler à la personne... Vous ne savez pas comment? Et bien simplement, dites-lui que vous avez observé "tel et tel changement" et que vous vous inquiètez pour elle. Si la réaction vous semble trop vive ou trop ténue, faites-vous confiance et demander conseil à un médecin, un spécialiste des addictions pour vous aider à aider...

Je rapelle que les polyaddictions sont courantes et que les TCA peuvent s'accompagner d'autres conduites addictives et/ou des prises de substances générant des dépendances.

Encore une fois, il n'y a pas de bonne heure ou de bon endroit, il y a le jour où deux personnes sont présentes l'une pour l'autre, où le lien et la communication sont là : c'est à cet instant là, le bon moment!

 

TCA à Sainte Maxime

 

 

Des contacts : ASSOCIATION AUTREMENT

Ses objectifs: information du public, formations des professionnels de la santé, prévention dans les collèges et lycées, accompagnement des malades et de leur entourage au soin et à la guérison.

Le siège de l'association est à Dijon ; son président, Daniel Rigaud est professeur en nutrition, spécialisé dans les TCA depuis 40 ans!

Il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet des TCA, troubles dont il est devenu spécialiste.

Membre de cette association, je développe un réseau de soutien en région PACA et j'enseigne à plusieurs endroits en France pour mulitiplier le nombre de soignants compétents

Je vous invite à consulter le site de cette association: www.anorexie-et-boulimie.fr (voir page contacts-liens). 

Le stress et l'angoisse

Derrière les conduites addictives (mais dans d'autres pathologies également), se retrouvent en toile de fond régulièrement le stress et l'angoisse. C'est pourquoi, j' accorde quelques lignes à ces mots...ou ces maux, devrais-je plutôt écrire?

Le stress

La notion de "stress" a été initialement définie par un chercheur canadien, Hans Selye, comme "syndrome général d'adaptation " dans les années 1930. D'autres en parlaient dès le début du 20e siècle mais il précisa la notion en l'étayant par des expériences sur les animaux qui montrèrent qu'une contrainte du milieu sur l'animal génère chez lui des transformations physiologiques (au niveau hormonal notamment) pour s'adapter à la situation. Ensuite, une fois la perturbation passée et l'évênement géré, le corps doit retrouver son mode de fonctionnement "classique" et récupéré l'énergie dépensée pour faire face. Quand je dis "faire face", cela signifie "s'adapter "; la fuite ou l'inhibition sont des modes d'adaptation aussi valables que la lutte; tout dépend de la situation!

Un stress régulier peut significativement dégradé le métabolisme animal ou humain car l'ensemble des éléments qui nous aident à faire face au stress ne sont pas faits pour devenir des modes de fonctionnement permanents. A terme, cela épuise notre énergie et suscite des pathologies....Nous sommes faits pour nous adaptés mais pas pour nous sur-adaptés! Trop, c'est trop!

Voici un exemple: lorsque vous subissez un stress, c'est-à-dire lorsque vous éprouvez une " agression quelconque " (pour certains, demander son chemin est déjà un stress!), votre rythme cardiaque s'accélère, vous rougissez, vous transpirez à grosses gouttes.... Si la peur (ou une autre émotion) est plus intense, les réactions physiques peuvent être plus importantes et susciter des ulcères, des crises d'eczéma...

Le stress définit à la fois l'agent stressant et les perturbations (les symptômes) d'adaptation.

Chacun de nous vit le stress différemment: les éléments stressants et la réaction sont individuels, même si se sont les mêmes systèmes de régulation interne qui sont mis en oeuvre chez chaque humain...Tout comme dans le cas des émotions, qui servent également à nous adapter à notre environnement (retrouvez les émotions dans le chapitre sur le conseil en communication et relations...), le stress est à la fois commun à tous les humains et à la fois différent pour chacun de nous. C'est ce qui le rend difficile à définir et qui me fait écrire: ne pensez pas que votre stress n'est pas légitime par rapport à celui des autres....il n'y a pas d'échelle de valeur! Certains sont stressés par une souris, d'autres par un éléphant!

L'important est que vous réagissiez si le stress prend beaucoup de place dans votre vie et qu'il met votre équilibre en péril. Sa fonction initiale est de vous aider à bien vivre mais parfois, le mécanisme s'emballe et pour revenir à un fonctionnement respectueux de soi, il convient d'être accompagné pour rétablir l'équilibre intérieur (et extérieur, si cet extérieur est devenu trop stressant!).

Enfin, le stress peut être la conséquence d'épisodes traumatiques...C'est la bonne réponse de l'organisme dans les premiers jours mais, si les réactions révélatrices de stress (insomnie, images récurrentes, pensées envahissantes...) persistent, il est essentiel d'envisager un débriefing ou le soin par d'autres techniques appropriées pour la gestion des traumatismes.

Les personnes formées à la psychotraumatologie peuvent alors vous aider. Pour en savoir davantage, je vous convie à lire le débriefing (PDF), se former au debriefing (PDF), et de visiter les sites: http://spsu.fr/traumatisme.php et  http://www.institut-psychotrauma.ch/

L'angoisse

Etymologiquement, "angoisse" vient du latin qui signifie "passage étroit".

Le vocabulaire français est très riche et pour certains, là où je vais parler "d'angoisse", ce mot sera associé à des états d'anxiété, de peur, de souci, de préoccupation intense...L'objectif, au-delà du mot que chacun de nous emploie, est de vous signifier qu'un mal -être qui dure avec un sentiment d'insécurité permanent et des troubles qui perturbent votre quotidien (idées obsédantes, sueurs, malaises, maux de tête, incapacité à se concentrer...) méritent que vous preniez le temps d'y remédier. Si vous vous sentez "coincé" dans vos inquiètudes, votre état anxieux....alors il est important de vous faire accompagner.

Quand une personne a une peur, sa peur est généralement ciblée sur un objet...si elle devient disproportionnée (phobique), on travaille à réajuster l'émotion. Rappelons qu'à l'origine, là encore, la peur est utile et participe au maintien de votre équilibre. Quand on parle d'angoisse, généralement la personne a perdu l'objet initial... elle ne sait plus de quoi elle a peur ; elle a peur "de tout et de rien". L'angoisse mérite de rechercher les évênements et les émotions d'origine, la peur et le stress originels, avant de réajuster votre équilibre... L'angoisse est un mécanisme de répression des émotions et il est important de libérer les émotions non vécues pour en sortir.

Addictions et compulsions comme solutions?

Cabinet-psychotherapie-Sainte-Maxime prévention-addiction Certains vont essayer de sortir de l'angoisse et du stress, d'apaiser leur insécurité intérieure en cherchant une aide comme l'alcool qui anesthésie les émotions, les douleurs ou les compulsions pour tenter désespérement de mettre des sécurités extérieures pour canaliser leurs perturbations internes. Malheureusement, ces solutions ne seront pas les bonnes...La prévention, c'est de trouver la personne qui vous aidera à accueillir vos émotions, vos angoisses, à libérer votre état de stress et à stimuler votre sécurité intérieure et l'estime de vous. Dans tous les cas, si vous n'avez pas pu prévenir, pour guérir, il sera essentiel de travailler sur ces points-clés que sont la sécurité intérieure, les ressources cachées et l'estime de vous... peut-être le formulez-vous ainsi : la confiance en vous!

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